La Capitale mondiale du laisser-aller
Ce n'est pas pour me vanter (car voilà bien une chose que je déteste faire par dessus tout) mais je crois quand même être en mesure de peser le pour et le contre concernant le bonheur plus qu'éphémère que procure l'ingestion de 2 pointes de pizza immensément grosses plus 32 onces de liqueur pour 4 $ US ! C'est certainement et justement une petite jouissance de gars en vacances d'en avaler une en sirotant sa liqueur et en essuyant ses doigts tout graisseux sur son costume de bain de toute façon déjà souillé de la veille par le hamburger qu'il s'était envoyé en arrière de la cravate, mais c'est affreusement et incompréhensiblement malsain de s'en tapper 2 avec une chaudière de liqueur devant son enfant presque reconnaissant d'avoir été initié à ce rite typiquement américain au vénérable âge de 3 ans, alors qu'il pesait déjà 120 livres...
Bref, rien de personnel... je suis seulement de retour d'Hampton Beach et j'ai en mémoire pour minimalement le reste de ma vie ces belles images père-fils visant à faire du gras, de la sédentarité et de la surconsommation les rois et les reines des années 2000 ! Martin Deschamps l'a dit :"Beeeeelle époque ! Quelle époque !"
Bref, rien de personnel... je suis seulement de retour d'Hampton Beach et j'ai en mémoire pour minimalement le reste de ma vie ces belles images père-fils visant à faire du gras, de la sédentarité et de la surconsommation les rois et les reines des années 2000 ! Martin Deschamps l'a dit :"Beeeeelle époque ! Quelle époque !"
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