Le grand retour du Flamant Rose
Oyé oyé !
Ça a l'air que y'a du monde qui s'ennuie de lire mes niaiseries ! Ça a même l'air que y'en a qui ont frôlé la dépression de ne plus pouvoir, presquemment chaque jour, lire mes observations sociales à la sauce "dérision"... Ah bin verrat de verrat ! Je m'étais pas rendu compte à quel point ce que je faisais parfois entre 2 cours d'enseignement religieux pouvait être aussi signifiant pour d'autres gens, entre 2 de leurs temps libres.
J'annonce donc, sans trompette ni tambour, mon grand retour à la cyber-réalité, soit celle qui exige jour après jour, une analyse sarcastique des choses qui nous entourent. Je suis un peu comme un flamant rose sur une pinte de lait : on m'a longtemps pris pour acquis, tellement qu'à un moment donné, c'en était presque rendu banal. Mais au fur et à mesure que ma présence se rarifiait, les questions apparaissaient les unes après les autres : "Mais où est-il donc passé ?" "Mais à quoi sert-il exactement ?" "Osti que yé quétaine !!!" Mais quand la disparition s'officialise, on panique. On prend en photo le dernier de la race et on la colle sur une pinte de lait, pour éviter l'extinction généralisée... Cette fois, la race humaine a agi à temps ! On ne peut en dire autant des pauvres flamants roses en plastique qui, semble-t-il, ont disparu du paysage des terrasses festivales sans même laisser une lettre d'adieu. On s'en ennuie pas vraiment... On fait juste le remarquer pis en parler à 2-3 personnes, un coup bin chaud ou bin gelé dans un party. Et on passe à un autre appel et à un autre bobo.
J'annonce donc, sans trompette ni tambour, mon grand retour à la cyber-réalité, soit celle qui exige jour après jour, une analyse sarcastique des choses qui nous entourent. Je suis un peu comme un flamant rose sur une pinte de lait : on m'a longtemps pris pour acquis, tellement qu'à un moment donné, c'en était presque rendu banal. Mais au fur et à mesure que ma présence se rarifiait, les questions apparaissaient les unes après les autres : "Mais où est-il donc passé ?" "Mais à quoi sert-il exactement ?" "Osti que yé quétaine !!!" Mais quand la disparition s'officialise, on panique. On prend en photo le dernier de la race et on la colle sur une pinte de lait, pour éviter l'extinction généralisée... Cette fois, la race humaine a agi à temps ! On ne peut en dire autant des pauvres flamants roses en plastique qui, semble-t-il, ont disparu du paysage des terrasses festivales sans même laisser une lettre d'adieu. On s'en ennuie pas vraiment... On fait juste le remarquer pis en parler à 2-3 personnes, un coup bin chaud ou bin gelé dans un party. Et on passe à un autre appel et à un autre bobo.
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