Petites réflexions à propos de tout et de rien sur comment vivre au 21ème siècle en dédramatisant autant que possible presque tout sans quoi la vie serait rapidement étiquettée comme éphémère à plusieurs niveaux

mardi, septembre 12, 2006

Le Requiem du Raton / On se gâte du côté de chez Vanessa !

Mardi. 12 septembre 2006. Sherbrooke. 22h51...


La morale de ce soir : Un début de soirée sournois n'a pas le choix de tourner au vinaigre balsamique.


Le contrat de ce soir : Contrairement à la DOUBLE-finale du Cercle de ce soir, la nôtre n'en aura qu'une et elle sera la suivante :

"Devant témoins, soient Giavonni, Jepetto et Freddo les ratons Laveurs, présents au moment de la rédaction de ce contrat à l'observatoire d'en arrière du Chicking dans l'Est, avant une visite nocturne au service à l'auto du Burger King 500 mètres plus loin, je, Individu Louche #1, jure que j'irai manger une douzaine de beignes originals de chez Krispy Kreem avec mon coloc, Individu Louche #2 et ce, avant la fin de l'année 2006. Le CV du photographe-vedette de Montréal en sera le nom de code.

La déclaration de l'indépendance aux troupeaux de chèvres d'Algérie ne m'aidera pas à économiser suffisamment pour avoir l'argent nécessaire en date de Pâques pour m'acheter la collection complète des DVD d'Alf l'extra-terrestre...


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Et on apprenait finalement, Mesdames Messieurs, que le réputé salon de coiffure situé dans l'est de la ville de Sherbrooke, Le Sallon chez Vanessa, s'est finalement GÂTÉ pour son dixième anniversaire, en réussissant à réunir tous les fonds nécessaires à l'achat du demi-gallon de peinture nécessaire pour peinturer en blanc le "l" de trop dans le mot "Sallon" de son affiche.

Questionnées 13456 fois au cours des dix premières années d'existence de son commerce concernant cette faute d'ortographe évidente à en voler un dépanneur yougoslave appartenant à un héritier Cambodgien, la propriétaire Vanessa Gingras a commenté : "Je pensais que ça s'écrivait comme le mot ballon. Maintenant, mon truc pour m'en souvenir sera le suivant: "Pas de violon dans mon salon, pas de ballon dans mes tallons !" ... Ouain...

Madame Gingras termine l'entrevue de ce soir en disant que : "Tous les pourboires qui [lui] seront remis cette semaine seront mis de côté pour [lui] payer des cours de français secondaire 1."

S.I.S.I