Petites réflexions à propos de tout et de rien sur comment vivre au 21ème siècle en dédramatisant autant que possible presque tout sans quoi la vie serait rapidement étiquettée comme éphémère à plusieurs niveaux

lundi, octobre 12, 2009

Dancing Coke Can

Quand j'étais petit, j'aimais mes parents selon l'humeur, le feeling et les caprices. Un de mes plus gros caprices refoulés, je l'avoue, aura été d'avoir toujours secrètement désiré être l'Heureux propriétaire d'une Dancing Coke Can... Vous savez, la canette qui dansait au son de n'importe quelle musique... J'aurais vendu ma mère pour en avoir une. Et évidemment, pas question que mes parents investissent un traître sou dans ce symbole culturel des années 90... alors ce jour-là, j'étais pas sûr d'aimer mes parents. Mais tout est rentré rapidement dans l'ordre quand ils m'ont à la place acheté un Slinky... Le jour de mon mariage, prévu pour l'an prochain, ils sont bien avertis : ça va prendre une Keytar en cadeau de mariage ou c'est la fin...

L'ONF commandite le suicide


N'écoutez pas ce court métrage si votre vie n'est pas A-1 actuellement... Cela pourrait en effet favoriser l'écourtement de celle-ci...

Shit Lola

On dira ce qu'on voudra mais les faits sont là pour rester : Francis Reddy, avant d'être métrosexualisé et associé aux kiwis a été l'icône d'hétérosexualité par excellence quand il campait le bum le plus connu du Québec et j'ai nommé Pete Béliveau. Avec sa camisole épisodique du Joker et sa légendaire mullet olympique, notre Pete nous en aura fait vivre des sensations fortes ! Calvaire... Le temps passe... et les offres d'emploi aussi ça a l'air...
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Anyway, Franky Boy, Respect